BIOLITT : Alvie MOUZITA, écrivain congolais

Alvie Mouzita est né le 18 octobre 1998 à Mindouli, dans le Département du Pool, en République du Congo. Fils d’Alban Mouzita et de Dorothée Missobo, Alvie Mouzita a fait toutes ses études à Brazzaville.

Après l’obtention de son CEPE en 2010 à l’école primaire Joseph Ngaliéma et de son BEPC en 2014 au CEG Mfilou, il décide de poursuivre ses études secondaires en optant pour la série littéraire au Lycée Pierre Savorgnan de Brazza nonobstant sa passion pour les chiffres, à cause justement de son nouveau rêve, celui de devenir diplomate.
Deux ans après, il se fait transférer au Lycée Chaminade pour rapprochement du domicile parental. C’est dans ce nouvel établissement scolaire que tout vacille pour le jeune Mouzita : il découvre à travers les dires incessants de ses amis, l’écrivain Alain Mabanckou, qu’il découvrira par ses livres en 2017, après l’obtention de son baccalauréat. En outre, il connaîtra une situation sentimentale éprouvante, une accointance qui sera à l’origine de ses premiers écrits émaillés de morosité. 




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En 2018, Alvie Mouzita débute ses études universitaires à l’École Normale Supérieure. Il y passe cinq ans et décroche tour à tour une Licence et un Master II en Enseignement Anglais. Cette formation lui donne l’opportunité d’intégrer le corps professionnel congolais. Depuis lors, il exerce la profession noble d’enseignant dans plusieurs établissements scolaires de la place.
Épris de l’Afrique, il crée, en 2019, un mouvement estudiantin nommé « Balance » dont l’objectif consistait à dénoncer, à travers les débats houleux, les maux qui minent le continent africain sans avoir une posture victimaire. Cette résolution énergétique de rassembler les gens pour la bonne cause, une volonté constatée depuis son enfance et même au Lycée, illustre à merveille le sens profond de son nom koongo « mujita » qui renvoie à une sorte de papillote utilisable à plusieurs fins, voire gastronomique ou mystique.


En 2020, il commence à écrire avec plus de sérieux les poèmes.  Alors qu’il prépare sa Licence, Alvie Mouzita lance, via les réseaux sociaux, le concours international de poésie qui portera, l’année suivante, le nom de « Prix Vendeurs d’émotions ».
En 2021, il finalise la rédaction de l’anthologie intitulée Vendeurs d’émotions et décide de titrer son recueil de poèmes « Chants pour une fleur » après une myriade de propositions. »

La même année, il participe au concours du meilleur manuscrit de l’année avec « Chants pour une fleur », une compétition littéraire organisée par les Éditions Renaissance Africaine, et figure parmi les dix finalistes du Prix Pierre Ntsemou. Dans le même sillage, il est sélectionné au concours international poétique « La Différence », en France, pour son poème « Zèbre sans zébrures » avant de figurer dans Anthology of New Best African Poets 2021, une anthologie polyglotte parue au Zimbabwe. Par la suite, il devient membre du jury du Prix Plum’art, au Congo.


En 2022, son manuscrit « Chants pour une fleur » remporte le Prix Pabloemma au Cameroun. Déçu par le qualificatif d’« écrivain en herbe » par la presse congolaise suite à sa distinction, Alvie Mouzita, encore étudiant en Master II, sacrifie son unique et seule bourse universitaire de sa vie pour publier son coup d’essai littéraire intitulée « Vendeurs d’émotions », une anthologie qui défend la survivance de la poésie. Il décide de travailler dur pour se faire nom au côté de ses aînés. Ainsi, suite au conseil de son confrère de plume Tristell Mouanda Moussoki, Alvie Mouzita se lance dans cette dynamique de participer à de nombreux prix littéraires.


Cette même année, il est, tour à tour, nominé au concours international de poésie sur la protection des droits de l’enfant, au Canada, pour son poème « l’enfant noir » ; lauréat, 3è Prix CIPA, Cameroun, pour son poème « Cri du volcan » ; lauréat, 4è Prix Africa Poésie, Cameroun, pour son poème « Chants des initiés » ; nominé 3è Prix Littéraire International Codjo Rodrigue Abel Assavedo, catégorie poésie, initié par les Éditions Essaim Plumes, au Bénin, pour son manuscrit « Chants pour une fleur » ; lauréat, 1er prix, Prix d’Excellence du jury, concours international de poésie de la ville de Verquin, en France, sous le thème « Brazzaville, capitale de la France libre », pour son poème « Mémoire d’amour » ; lauréat du concours international de poésie, catégorie Étranger, initié par le Centre Interdisciplinaire d’Étude des Littératures, en Suisse, sous le thème « raviver l’eau », pour son poème « Regard du fleuve » ; nominé au concours international poétique « La Différence », en France, pour son poème « Les larmes fragiles » ; et lauréat, troisième place, Les égoèmes, concours international de poésie initié par Larathure, en France, sous le thème « Réveillons », pour son poème « nuit fertile ».


L’année 2022 reste florissante pour le jeune écrivain Alvie Mouzita. Ses poèmes sont sélectionnés pour composer les anthologies à l’échelle internationale entre autres Dialoguer en poésie 2022, Baiser d’une mère et Cantilènes funèbres. Il devient membre permanant des associations comme la Ballade des Idées (France), la CENE Littéraire (Suisse) et la Société des Artistes et Poètes du Cameroun. Ses poèmes sont publiés par des grandes revues à l’instar de « Femme noire », in SPAC au Cameroun ; « Fleuve koongo » in Poesie Revelada, en France et « Chants des initiés », in SPAC, au Cameroun.

Il soutient son mémoire de Master qui lui permet de participer à plusieurs conférences dont « Ahi Evran 2nd International Conference on Scientific Research », Kirsehir, en Turquie. En outre, il produit des articles et des communications tant en Anglais qu’en Français sous sa casquette de critique littéraire. Il met principalement l’accent sur les théories éco-critiques, géo-critiques et psycho-analytiques, examinant dans la foulée les questions de l’éco-activisme pour l’éveil de conscience environnementale sur la problématique du développement durable.


En 2023, Alvie Mouzita, influencé par les poètes Huppert Malanda, Tchicaya U Tam’si, Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire et Charles Baudelaire, publie en mars, aux Éditions Essaim Plumes, son premier recueil de poèmes intitulé « Chants pour une fleur » qui connaît un succès monumental car, distingué par plusieurs prix internationaux, entre autres Prix MILA du Livre Francophone 2023, en Côte d’Ivoire. Il sied mêmement de renchérir que cet ouvrage regorge certains titres avec lesquels ce poète, ayant une exigence particulière du langage poétique, a été plusieurs fois primé, à l’instar du Grand Prix du Poème Francophone 2023 en France, un concours initié par la Société des Poètes Français. Sur le même pli, son poème « Rumeurs du fleuve » est publié dans Kapitalis, l’une des revues de Tunisie qui publie les grands poètes du monde ; et celui intitulé « Regard du fleuve » paraît chez Couleurs poésies, en France. Il publie sur YouTube la version audio-musicalisée du poème « Sukali », une stratégie qui est sienne pour gagner le maximum de lecteurs. Il continue à participer aux projets collectifs en l’occurrence Intrinsèques, Dialoguer en poésie 2023 et Anthologie Concours jeunesse Prix 2021-2023.


Cette même année, l’écrivain Alvie Mouzita est membre du jury du Prix Francis Bebey, au Cameroun. Il rejoint le Cercle de Réflexions pour l’Éveil d’Afrique (Congo) pour son engagement panafricaniste ; la Chaîne Congolaise du Cœur (Congo) pour son combat du bien-être ; le média Culture Congo pour y travailler entant que chroniqueur culturel ; et enfin, il est admis au Comité de lecture du Prix les Afriques (Suisse), l’un des prix littéraires les plus prestigieux du monde afro-caraïbéen qui distingue chaque année un écrivain africain ou afro-descendant dont l’œuvre, en lien avec l’Afrique noire ou sa diaspora, est engagée.
Dans le cadre de ses recherches en Littérature Africaine Anglophone, et ce, tout en poursuivant ses études à la Faculté de Lettres, Arts et Sciences Humaines de l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville, Alvie Mouzita a également produit des travaux scientifiques sous sa casquette de critique littéraire et encadré des étudiants dans la rédaction de leurs mémoires.
À la fin de l’année 2023, Alvie Mouzita, après sa brillante participation au Meeting International du Livre et des Arts associés qui s’est tenu à Grand Bassam, en Côte d’Ivoire, est désigné Point focal et Chef de délégation congolaise invitée à la cinquième édition du FORALY au Cameroun, un grand festival culturel de Yaoundé. Ensuite, grâce à ses prouesses tout au long de cette année et à ses apparitions médiatiques enrichissantes, Alvie Mouzita figure sur la liste du « Top 30 des jeunes congolais les plus inspirants ». 


Au début de l’année 2024, Alvie Mouzita lance sa tournée littéraire (vente, dédicaces, cafés littéraires) autour de son recueil de poèmes « Chants pour une fleur » sur toute l’étendue du territoire national. S’adonnant aux plus jeunes, pour développer en eux l’esprit critique et l’amour du livre en général.


Sa détermination à œuvrer dans le secteur culturel lui a valu le titre de « Auteur de la semaine » au Cameroun par le Cercle de Lecture, d’Initiation et d’Intégration à la Culture. Grâce à son talent exceptionnel en poésie, Alvie Mouzita figure sur la liste des dix finalistes du Prix Léopold Sédar Senghor, en Italie, pour son poème « Chant spirituel pour Kimpa Vita. »
Entre février et mars 2024, Alvie Mouzita participe à la cinquième édition du Forum International des Acteurs de l’industrie du Livre de Yaoundé (FORALY) à Mbalmayo et y obtient un « Diplôme d’honneur » pour sa contribution intellectuelle à travers ses multiples interventions. C’est à cette occasion qu’il rencontre la petite fille de Um Nyobe qui lui apprend les contours du « Hémlè » avant de visiter la tombe du grand écrivain Mongo Béti.
Ce qui conduit à renchérir qu’Alvie Mouzita est un homme de culture sans frontières, un homme qui milite surtout pour l’africanité, c’est-à-dire la valorisation de la culture africaine en tous ses états. Il met principalement l’accent sur l’innovation, car d’elle, selon lui, viendra le progrès suivant le paradigme africain.

Publications personnels


2022 : Vendeurs d’émotions, Anthologie, Renaissance Africaine, Paris : France
Résumé : À entendre certaines voix littéraires, le genre poétique serait de plus en plus délaissé, voire même éteint ; par conséquent les poètes n’existeraient plus. D’où l’urgence de publier cet ouvrage qui s’intitule Vendeurs d’émotions, puisque le poète, selon Alvie Mouzita, est un piroguier qui roule ses poèmes-pirogues sur le fleuve d’émotions. À cet effet, il est question, dans cet ouvrage, en l’occurrence l’introduction, de démentir, d’abord, l’idée de la mort supposée de la poésie ; parler, ensuite, du langage poétique en vue de différencier le vrai poète d’avec le faux – c’est-à-dire l’usurpateur qui abîme la beauté poétique ; traiter, en outre, de la question de la musique en poésie ; et aborder, enfin, le fait que certains poètes meurent sans être insérés dans un livre. Mais tout ceci se fait de façon brève avec une touche particulièrement africaine, dans la mesure où les poètes qui composent cette anthologie sont tous négro-africains.

2023 : Chants pour une fleur, recueil de poèmes, Éditons Essaim Plumes, Parakou : Bénin
Résumé : Comme l’indique son titre, d’ailleurs clé pour ouvrir son mystère, Chants pour une fleur est un ouvrage greffé d’une musique rythmique où chaque mot qui roucoule tantôt comme une rivière tantôt comme un tam-tam ou une kora, confère aux cœurs la merveilleuse des émotions. Ici, Alvie Mouzita, ayant su que la femme est la source intarissable où s’abreuvent les inspirations perlières, s’est donc fait griot pour la psalmodier. Ces chants, loin d’être que des offrandes pour une jubilation, s’érigent aussi comme des stèles où viennent en pèlerinage tous les sentiments du poète, à l’instar de la mélancolie. Cette œuvre, d’une poésie sacrée et sensible et d’un lyrisme aussi profond, est quête d’une spiritualité africaine perdue, dialogue avec l’être aimé, miroir pour toute femme.

Ouvrages collectifs


2021: Anthology of New Best African Poets 2021, Mwanaka Media and Publishing, Chitungwiza: Zimbabwe
2022 : Dialoguer en poésie 2022, Books on Demand
2022 : Baiser d’une mère, Edilivre, Paris : France
2022 : Cantilènes funèbres, Éditions Essaim Plumes, Parakou : Bénin.
2023 : Intrinsèques, Independently published
2023 : Dialoguer en poésie 2023, Books on Demand
2023 : Anthologie Concours jeunesse Prix 2021-2023, Éditions des Poètes Français

Poèmes publiés dans les revues


2022 : « Femme noire », in SPAC, Cameroun.
2022 : « Fleuve Koongo » in Poesie Revelada, France.
2022 : « Chants des initiés », in SPAC, Cameroun.
2023 : « Rumeurs du fleuve » in Kapitalis, Tunisie.
2023 : « Regard du fleuve » in Couleurs poésies, France.

Poèmes publiés sur Youtube


2023 : « Sukali » : Alvie Mouzita – Sukali – (Chants pour une fleur)

Articles scientifiques


2022 : Oil Exploitation and Children’s Squalid Experience in Imbolo Mbue’s How Beautiful We Were. Cahiers Africains de Rhétorique, Vol: 001 – N°: 002 / (30/12/ 2022) pp.160-179.
2023 : La symbolique du cœur dans l’œuvre poétique de Prince Arnie Matoko. International Journal of Humanities Social Sciences and Education (IJHSSE), Volume 10, Issue 9, September 2023, ISSN 2349-0373 (Print) & ISSN 2349-0381 (Online), pp. 39-48. https://doi.org/10.20431/2349-0381.1009005
En cours : From Youth Indignation to Vandalism : An Outcry for Environmental Justice in Imbolo Mbue’s How Beautiful We Were and Chimeka Garriciks’ Tomorrow Died Yesterday

Communications scientifiques :


2022 : The Portrayal of Ecological Disaster in Imbolo Mbue’s How Beautiful We Were (Ahi Evran 2nd International Conference On Scientific Research, 21-23 October 2022, Full texts books II, Kirsehir Ahi Evran University, Kirsehir, Türkiye, ISBN – 978-625-8246-64-3, pp.332-337).
2022 : Comment vivre ? Une lecture sociétale de Né un mardi de Elnathan John, Mouyondzi, République du Congo.
2022 : Regard critique sur la question de l’infertilité en Afrique. Cas d’étude de Reste avec moi de Ayobami Adebayo, Brazzaville, République du Congo.
2023 : De la cruauté humaine à la prise de conscience : une autopsie critique de Murambi, le livre des ossements de Boubacar Boris Diop, Brazzaville, République du Congo.

Sites à consulter pour plus d’informations :


Adiac, CultureCongo, LireàDouala, AllAfrica, Lhorizonafricain, Cultura, Amazon, Le courier de Kinshasa, Les Dépêches de Brazzaville, Kapitalis, Africa poésie, Workplace from Meta, Difference.christinagoh, Lecteurs.com, Decitre, WordPress.com, ResearchGate, Africapress, Editions Essaim Plumes, Books.google.cg, Gale, Wook, Laboutiqueafricavivre.com, Preface.ma, L’intranquille, Furet du Nord, Fnac, Librairie du premier film, News day FR, Place des librairies, Calaméo, art collector saint mitre, La Rathure, Ceneo, Perlego, Kinokuniya, Youscribe, Poesie revelada.

Soutenance mémoire


2022 : The Analysis of Ecological Disaster in Imbolo Mbue’s How Beautiful We Were, École Normale Supérieure, Université Marien Ngouabi, Brazzaville, République du Congo.

Encadrement de mémoires


2023 : From Expectations to Reality: Chronicle of Unfortunate Immigration in Imbolo Mbue’s Behold the Dreamers, École Normale Supérieure, Université Marien Ngouabi, Brazzaville, République du Congo.
2024 : From Life Experience to Creative Writing : An analysis of Imbolo Mbue’s How Beautiful We Were, École Normale Supérieure, Université Marien Ngouabi, Brazzaville, République du Congo.

Adhésions professionnelles :


Association des Artistes et Poètes du Cameroun : Cameroun
Cercle de Réflexions pour l’Éveil d’Afrique (CREA) : République du Congo
La Ballade des Idées : France
La CENE Littéraire : Suisse
La Chaîne Congolaise du Cœur : République du Congo

Distinctions et Prix littéraires :


2021 : Finaliste Prix Pierre Ntsemou, pour le meilleur manuscrit de l’année, initié par les Éditions Renaissance Africaine, Congo, pour son manuscrit Chants pour une fleur ;
2021 : Lauréat du Prix Littéraire Pabloemma, Cameroun, pour son manuscrit Chants pour une fleur ;
2021 : Sélectionné au Concours International Poétique « La Différence », France, pour son poème « Zèbre sans zébrures » ;
2022 : Nominé au Concours International de Poésie sur la protection des droits de l’enfant, Canada, pour son poème « L’enfant noir » ;
2022 : Lauréat, 3è Prix CIPA, Cameroun, pour son poème « Cri du volcan » ;
2022 : Lauréat, 4è Prix Africa Poésie, Cameroun, pour son poème « Chants des initiés » ;
2022 : Nominé 3è Prix Littéraire International Codjo Rodrigue Abel Assavedo, catégorie Poésie, initié par les Éditions Essaim Plumes, Bénin, pour son manuscrit Chants pour une fleur ;
2022 : Lauréat, 1er prix, Prix d’Excellence du jury, Concours International de Poésie de la ville de Verquin, France, sous le thème « Brazzaville, capitale de la France libre », pour son poème « Mémoire d’amour » ;
2022 : Lauréat du Concours International de Poésie, Catégorie Étranger, initié par le Centre Interdisciplinaire d’Étude des Littératures, Suisse, sous le thème « Raviver l’eau », pour son poème « Regard du fleuve » ;
2022 : Nominé au Concours International Poétique « La Différence », France, pour son poème « Les larmes fragiles » ;
2022 : Lauréat, troisième place, Les égoèmes, Concours International de Poésie initié par Larathure, France, sous le thème « Réveillons », pour son poème « Nuit fertile » ;
2023 : Lauréat du Grand Prix du Poème Francophone, Concours International de Poésie Jeunesse, organisé par la Société des Poètes Français et soutenu par le Ministère de Culture de France, pour ses trois compositions poétiques « Chants des initiés », « Regard du fleuve » et « Mémoire d’amour » ;
2023 : Lauréat Prix MILA du livre francophone, Côte d’Ivoire, pour son recueil de poèmes Chants pour une fleur ;
2023 : Top 30 des jeunes congolais les plus inspirants, Congo ;
2023 : Point focal et Chef de délégation congolaise invitée à la cinquième édition du FORALY, Cameroun ;
2024 : « Auteur de la semaine » désigné par le Cercle de Lecture, d’Initiation et d’Intégration à la Culture, Cameroun ;
2024 : Finaliste Prix Léopold Sédar Senghor, Concours International de Poésie, Italie, pour son poème « chant spirituel pour Kimpa Vita » ;
2024 : « Diplôme d’honneur » délivré par le Président du Forum International des Acteurs de l’industrie du Livre (FORALY), Cameroun.




Publié par ACOLITT

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